Nidation de l'embryon : comment interpréter les symptômes ? • Fiv.fr (2023)

La nidation est une période délicate de la grossesse durant laquelle l’embryon évolue et prend place dans l’utérus. Pour les femmes,cette période est pleine de sensations, d’apparitions de symptômes divers et souvent aussi d’espoir.

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Le processus de nidation peut entraîner des symptômes associés au début d’une grossesse. Savoir les identifier permet aussi de distinguer les symptômes liés aux menstruations et ceux qui sont engendrés par l’implantation de l’embryon dans l’utérus.

Le processus de nidation

Grâce au phénomène de la fécondation, le spermatozoïde et l’ovocyte ont la possibilité de fusionner au cœur des trompes de Fallope, que l’on appelle aussi oviducte. C’est ainsi que nait le zygote. Ce dernier se développe dès sa création et poursuit sa croissance durant la migration. Il quitte l’oviducte pour se diriger vers la cavité utérine.

Lorsqu’il parvient à cette cavité, l’embryon se trouve au stade de blastocyste. C’est alors qu’il s’accroche à la paroi utérine. Ce phénomène se nomme la « nidation », ou l’« implantation embryonnaire ». Il débute au cours du septième ou du huitième jour avec la fécondation et dure jusqu’à la seconde semaine de la grossesse.

Pour se développer et recevoir l’oxygène ainsi que les nutriments qui lui sont essentiels, l’œuf doit adhérer à l’endomètre. Ce processus nécessite la mise en place d’un dialogue entre l’embryon et la mère. Ce dernier est rendu possible par l’action de l’embryon, qui rompt les vaisseaux sanguins situés dans l’endomètre et en constitue de nouveaux qui permettront ces échanges.

(Video) Symptômes de nidation

Cette rupture des vaisseaux entraîne un saignement spécifique qui engendre des pertes vaginales. Lorsque l’embryon s’implante, les taux d’hormones augmentent et génèrent la plupart des symptômes visibles de la grossesse qui s’observent dès la seconde semaine, même s’il arrive qu’ils soient détectés plus tôt.

La rupture des vaisseaux, ou pertes vaginales

La nidation entraîne différents symptômes, dont les plus évidents sont les saignements vaginaux. Ils sont légers et de couleur souvent rose ou brune. S’il est possible d’associer les pertes blanches à un début de grossesse, il ne s’agit pas d’un symptôme exclusif à la nidation.

Les saignements d’implantation

Les saignements dus au phénomène de nidation peuvent être confondus avec des menstruations, ils surviennent généralement entre sept et dix jours après l’ovulation (contrairement aux règles qui interviennent 14 jours après l’ovulation). Avoir des doutes est donc tout à fait naturel. Néanmoins, les pertes de nidation sont généralement plus liquides et légères que celles liées au cycle menstruel. Leur texture est également moins épaisse et leur couleur généralement brune ou rosée.

Les saignements d’implantation peuvent être plus ou moins longs et intenses en fonction des femmes: il n’existe pas de norme en la matière. De ce fait, un test de grossesse doit être réalisé entre douze et quinze jours après la date de l’ovulation. Attendre un retard des règles permet de laisser suffisamment de temps au taux d’hormone HCG pour s’accroître. Perdre du sang ne signifie pas que la grossesse est inexistante, étant donné que ce saignement peut être causé par l’implantation. C’est pour cette raison qu’il faut pouvoir faire une différence entre les symptômes prémenstruels des symptômes liés à la nidation. Il est vrai que les similitudes sont nombreuses et peuvent prêter à confusion.

L’accroissement des pertes blanches

Les pertes blanches constituent un phénomène très récurrent dans la vie des femmes et ne représentent donc pas un signe clair de grossesse. Ces pertes sont composées d’un mélange entre les sécrétions vaginales habituelles d’une femme et de glaires cervicales. Elles sont généralement plus épaisses et opaques lorsqu’elles surviennent après l’ovulation. À d’autres périodes, elles pourront être transparentes et abondantes.

Néanmoins, l’augmentation de la quantité de pertes blanches peut constituer un signe de nidation. Lorsque l’hormone HCG augmente, elle favorise les productions d’œstrogènes et de progestérones, qui sont essentielles au déroulement de la grossesse. Sous leur influence, le renouvellement de la muqueuse vaginale s’accélère et les cellules sont justement éliminées dans les pertes de blanches, qui sont plus abondantes.

Ce ne sont pas les pertes blanches en elles-mêmes, mais leur augmentation qui représente un signe de grossesse. Il ne s’agit pas d’un symptôme lié à la nidation, mais à l’augmentation des taux d’hormones.

(Video) Nidation : quand a-t-elle lieu ? - Question Gynéco

Les symptômes de l’implantation

Il existe quelques autres symptômes liés à l’implantation permettant de déterminer si la grossesse a débuté, ou non. Ils favorisent aussi l’identification de la cause des saignements: nidation ou menstruations. Cependant, il ne faut pas oublier les grandes similitudes entre les symptômes afin de ne pas être induit en erreur.

En effet, la plupart de ces symptômes sont assez similaires aux symptômes prémenstruels, mais certains sont propres à la grossesse et sont généralement significatifs lorsque les règles s’arrêtent:

  • Des envies de miction très fréquentes ;
  • Une tension au niveau des seins, de l’aréole et des mamelons ;
  • Des coliques qui durent généralement entre une et deux journées ;
  • Douleurs proches de celles causées en général par la menstruation ;
  • Apparition de gênes telles que la constipation, la diarrhée ou les aigreurs d’estomac ;
  • De la somnolence surtout après les repas ;
  • Nausées et vomissements surtout au moment du réveil ;
  • Des réactions d’aversion pour certains aliments, des odeurs ou envers le tabac ;
  • Des envies de repas particulières et un besoin de manger souvent en petites quantités.

Il est conseillé d’attendre une douzaine de jours après la date d’ovulation pour réaliser un test de grossesse suffisamment fiable. Porter une attention trop excessive envers ces changements de l’organisme et éprouver une forte envie de voir débuter une grossesse peut conduire à une mauvaise interprétation de ces signes. Espérer voir débuter une grossesse peut aussi engendrer une mauvaise compréhension des divers symptômes.

En règle générale, la méthode de conception n’a aucune conséquence particulière sur la croissance de l’embryon. Néanmoins, il est possible que l’implantation ne se produise pas dans les mêmes conditions à la suite d’une ICSI ou d’une FIV (fécondation in-vitro), et ce parce que les embryons sont directement transférés au sein de l’utérus.

Lorsque l’implantation se fait par insémination artificielle, et que ce soit avec le sperme d’un donneur (IAD) ou celui du conjoint (IAC), la nidation se déroule de manière relativement similaire à celle d’une grossesse engendrée par la voie naturelle. Cette technique est moins invasive que la fécondation in vitro.

Il est possible que les patientes aient à prendre des suppléments de progestérones afin d’aider l’endomètre à être plus réceptif à la nidation à la suite d’un traitement de procréation médicalement assistée. Il arrive que la progestérone engendre des symptômes assez proches de ceux de la grossesse, mais cela n’indique en rien que l’implantation a réussi ou échoué.

Les femmes qui suivent un traitement de fertilité peuvent être exposées à des résultats faussés. De plus, la stimulation hormonale peut causer un saignement brun similaire à celui de l’implantation sans que cela signifie pour autant qu’une grossesse a débuté.

(Video) FIV : Que faire ou ne pas faire après un transfert d'embryon ?

La technique de PMA employée peut-elle influencer les symptômes de nidation ?

Les symptômes sont rarement différents de ceux d’une grossesse naturelle lorsque l’implantation a lieu par FIV ou ICSI. Les variations sont généralement liées aux changements hormonaux engendrés par ces techniques et non à la technique de PMA employée.

En effet, le traitement hormonal peut engendrer l’apparition de symptômes qui portent alors à confusion. Il ne faut donc pas s’y fier totalement et attendre le bon moment pour réaliser un test de grossesse fiable, malgré l’envie de voir débuter la grossesse et la frustration liée à l’impossibilité de tomber enceinte par la voie naturelle. Il est préférable de ne pas fonder de trop grands espoirs sur la simple observation de certains symptômes.

L’apparition des premiers symptômes

À la suite d’un transfert d’embryons, il est naturel de se montrer attentifs aux changements qui surviennent. Les émotions sont aussi généralement très fortes. Et pourtant, se montrer patient est le seul moyen d’éviter les faux espoirs et les erreurs de diagnostic. C’est au bout de deux semaines qu’il est possible de tester les taux d’hormones chorioniques gonadotropes humaines et ainsi savoir si la grossesse monte dans le sang. C’est une étape longue et difficilement supportable pour beaucoup de personnes. Dans l’impatience, les tests sont parfois réalisés trop tôt.

Si le transfert est effectué à J5, alors c’est un blastocyste qui est implanté dans l’utérus. Dans ce cas, le test pourra être réalisé plus tôt que s’il a lieu à J3, soit trois jours après la fécondation. L’hormone HCG est uniquement détectable à partir du quatorzième jour après la fécondation. Plus le transfert a lieu tôt, plus la patiente doit attendre.

Un ovule humain sera capable de s’ancrer à la paroi utérine entre huit et neuf jours après l’ovulation. Cependant, ce délai peut varier selon les femmes et osciller entre six et douze jours.

Des cas qui diffèrent selon les femmes

D’autre part, pour qu’une FIV se termine par une grossesse, il faut que l’embryon soit de bonne qualité et que le revêtement de l’utérus soit réceptif. Ce n’est qu’à partir du huitième jour que les symptômes communs de la grossesse peuvent être ressentis. Cela comprend des nausées (matinales ou non), une sensibilité au niveau des seins, le rejet de certains aliments, une hausse de la température corporelle et bien sûr, l’absence des règles…

Chaque femme vit sa grossesse, son début et son évolution d’une manière qui lui est propre. Certaines pourront en ressentir tous les symptômes, d’autres en ressentiront seulement certains. Enfin, il est aussi possible de ne ressentir aucun signe de début de grossesse. De ce fait, il est préférable d’être patiente et de ne pas s’alarmer. En effet, il est fréquent que ces signes apparaissent avant de disparaître et sèment la confusion.

(Video) Que faut-il savoir sur le test de grossesse après une FIV ?

Les symptômes communs post-transfert

À la suite d’une fécondation in vitro comprenant ou non une ICSI, un supplément de progestérone est généralement donné aux patientes. Cette hormone peut parfois engendrer des symptômes similaires à ceux de la grossesse. Cela ne signifie pas pour autant que ce soit le cas.

De ce fait, qu’elles soient enceintes ou non,les femmes pourront ressentir ces différents troubles:

  • Des sécrétions vaginales abondantes qui apparaissent le plus souvent durant les jours qui suivent le transfert. Elles sont liées aux variations des taux d’hormones et de progestérones.
  • Des changements ressentis dans les seins: la poitrine est plus dure que la normale et gonflée. On remarque un assombrissement des aréoles avec chatouillement des mamelons.
  • Sensation de fatigue causée par l’hormone de progestérone ou par la grossesse: il n’est pas possible de savoir si la grossesse ou les hormones provoquent la sensation de fatigue. En effet, les patientes qui subissent un transfert embryonnaire à la suite d’une ICSI ou d’une FIV doivent se supplémenter en progestérone pour maintenir le revêtement de l’utérus à un niveau suffisant pour accueillir l’embryon.
  • Des nausées relativement classiques, similaires à celles de la grossesse normale.
  • L’absence des menstruations quatorze jours après le transfert d’embryons. Si les règles reviennent, alors le résultat du transfert sera certainement négatif.
  • Des envies fréquentes d’uriner causées par l’hormone HCG. Les femmes qui suivent un traitement de fécondation sont amenées à prendre des stimulants d’hormone HCG. L’augmentation des envies d’uriner peut alors être causée par ces stimulants ou par la grossesse.
  • Plus rarement, il peut être observé des pertes d’appétit, des insomnies, le gonflement du ventre, des crampes, une constipation…

Transfert d’embryon: dans quels cas faut-il s’inquiéter ?

Après une fécondation in vitro, des complications peuvent parfois survenir. L’une des plus préoccupantes est la grossesse extra-utérine, aussi appelée GEU. Elle engendre le plus souvent une fausse couche et peut aussi mettre la santé de la patiente en danger. On estime que les grossesses extra-utérines représentent entre 1 et 3% des fécondations in vitro.

Les grossesses extra-utérines surviennent lorsque l’embryon vient s’implanter dans l’appareil reproducteur interne de la femme, mais pas au sein de l’utérus. En général, il s’agit de la trompe de Fallope même si l’implantation peut aussi survenir dans le col de l’utérus (aussi nommé cervix) ou dans l’ovaire.

Identification de la grossesse extra-utérine

Des signes préoccupants peuvent suggérer qu’une GEU est effective. En règle générale, ils apparaissent entre cinq et quatorze semaines après confirmation du départ de la grossesse. Ces signes sontdonc:

  • Les signes de grossesse: lors d’une grossesse extra-utérine, certains symptômes sont similaires à une grossesse normale comme les changements dans les seins ou l’absence des règles.
  • Les douleurs dans le bas ventre: c’est le symptôme principal d’une GEU. Il peut s’agir de crampes semblables à celles des menstruations.
  • Des saignements bruns: il s’agit d’un effet lié aux changements hormonaux. Les saignements peuvent être légers comme plus importants.
  • Des troubles: diarrhées, constipations, vomissements…
  • Douleurs aux origines difficilement identifiables: ces douleurs sont le plus souvent localisées dans le bas ventre et causées par un saignement originaire de la trompe de Fallope. Si ces douleurs se produisent, alors il existe une urgence médicale.

Les conséquences d’une grossesse extra-utérine

Lorsque la grossesse extra-utérine n’est pas détectée, alors l’embryon poursuit son développement. S’il se trouve dans la trompe, il peut la déchirer et engendrer un saignement intra-abdominal conséquent. Les symptômes de cette rupture peuvent être une accélération du rythme cardiaque, des vertiges, l’évanouissement…

(Video) fécondation et nidation

Une grossesse extra-utérine peut tout à fait être diagnostiquée par une augmentation des taux d’hormones dans le sang: HCG. Une échographie pelvienne peut aussi la révéler. Le plus souvent, les taux de HCG se multiplient par deux tous les deux ou trois jours, et ce durant les dix premières semaines de grossesse. Si les taux sont trop bas, cela peut suggérer une possible fausse couche.

Après un transfert d’embryons, il se peut que des symptômes assez spécifiques surviennent. S’ils se présentent, il faudra se rendre en urgence au centre de procréation assistée:

  • Douleur aiguë et persistante dans l’abdomen ;
  • Un état général qui décline avec fièvre, céphalée, douleurs et autres symptômes anormaux ;
  • Saignement abondant avant quatorze jours et similaire à ceux des menstruations, notamment s’il s’agit d’un transfert d’embryons congelés. Néanmoins, il faut veiller à ne pas le confondre avec un saignement lié à l’implantation.

Durant une visite au centre de PMA, les professionnels de santé réalisent des examens permettant d’identifier les causes des symptômes et seront à même de trouver une solution et un traitement adéquats en fonction du problème rencontré.

FAQs

Nidation de l'embryon : comment interpréter les symptômes ? • Fiv.fr? ›

Elles sont généralement plus épaisses et opaques lorsqu'elles surviennent après l'ovulation. À d'autres périodes, elles pourront être transparentes et abondantes. Néanmoins, l'augmentation de la quantité de pertes blanches peut constituer un signe de nidation.

Comment savoir si la nidation a eu lieu FIV ? ›

C'est le saignement d'implantation, qui peut constituer le principal symptôme de la nidation de l'embryon. Ces pertes peuvent vous faire penser à des menstruations, mais elles sont différentes. Généralement peu abondant, le saignement d'implantation est souvent rosâtre ou marron.

Quels sont les signes d'une bonne nidation réussie ? ›

Des signes pour déceler une nidation réussie

Le signe le plus fréquent consiste en un léger saignement, qui correspond à la rupture des vaisseaux sanguins de l'endomètre lorsque l'embryon creuse sa place. Ces pertes ne doivent pas être confondues avec les règles, car leur volume est beaucoup plus faible.

Comment savoir si l'embryon s'est implanté ? ›

En cas de symptômes, nous pouvons trouver une tache brune ou rouge les jours où l'embryon est implanté, avec la sensation d'avoir des menstruations, la poitrine commence à gonfler et à être plus agaçante, étourdie, angoissée, ayant plus besoin d'uriner …

Comment savoir si la nidation a pris ? ›

Spotting de nidation

Il s'agit d'une légère perte de sang due à l'implantation de l'embryon (nidation) dans l'endomètre, très irrigué. Ce saignement rose ou brun peut être isolé ou durer 2 ou 3 jours tout au plus. Lorsqu'on parvient à le différencier du spotting d'ovulation, c'est un signe de grossesse très révélateur.

Quand apparaissent les premiers signes de grossesse après la FIV ? ›

D'autre part, pour qu'une FIV se termine par une grossesse, il faut que l'embryon soit de bonne qualité et que le revêtement de l'utérus soit réceptif. Ce n'est qu'à partir du huitième jour que les symptômes communs de la grossesse peuvent être ressentis.

Quand Ressent-on la nidation ? ›

Comme décrit ci-dessus, c'est généralement le cas après 5-6 jours. Ainsi, si une légère douleur ou un tiraillement dans le bas-ventre survient entre les jours 4 et 7 après l'ovulation, il peut s'agir d'une douleur de nidation causée par l'embryon.

Qu'est-ce qui peut nuire à la nidation ? ›

Les échecs d'implantation peuvent s'expliquer par une réponse immunitaire trop agressive qui induit la mort de l'embryon reconnu comme un corps étranger. À l'inverse, une réponse immunitaire utérine diminuée compromet l'adhésion entre l'embryon et l'endomètre.

Est-il obligé de saigner lors de la nidation ? ›

Le saignement d'implantation ne concerne pas entre 60 à 70 % des grossesses. Cependant de nombreux autres symptômes peuvent signaler la réussite de l'implantation. Ces signes peuvent comprendre : L'absence de règles.

Est-ce que la nidation fatigue ? ›

Deuxième semaine : la nidation de l'œuf. Au cours du premier mois, les premiers symptômes de la grossesse apparaissent : nausées, vomissements, douleurs au niveau de seins et du ventre, fatigue.

Comment savoir si un embryon est de bonne qualité ? ›

On attribue aux embryons des lettres (A, B, C ou D) qui nous donnent une idée de leur qualité morphologique embryonnaire et donc de leur probabilité de donner une grossesse. Les embryons de meilleure qualité sont classés dans la catégorie « A » et sont plus susceptibles d'être implantés.

Est-ce normal d'avoir mal au ventre après un transfert d'embryon ? ›

Vertiges, élancements, coliques ou douleur dans la zone abdominale ou lombaire: ces gênes sont habituelles après un transfert d'embryons. Pour la plupart, elles sont dues à la stimulation ovarienne suivie par la femme, en particulier dans le cas d'une fécondation in vitro avec ses ovules.

Comment favoriser la nidation après FIV ? ›

Faire de l'exercice physique en douceur: le corps a besoin de se sentir détendu, et faire de la natation ou marcher vous aidera à y parvenir. Évitez de pratiquer des sports d'impact ou de forte intensité, comme courir ou faire de l'aérobic.

Quand s'accroche un embryon J5 ? ›

Dans le cas du cycle naturel, le transfert est synchronisé avec le moment ovulatoire. Par exemple, si l'embryon a été congelé à J5 (blastocyste), le transfert est effectué le 5ème jour après l'ovulation.

Comment compter les jours de grossesse après une FIV ? ›

FIV avec vos propres ovules (avec ou sans ICSI) : Utilisez la date de prélèvement des ovules, puis ajoutez 266 jours (ou 38 semaines). FIV avec don d'ovocytes frais (avec ou sans ICSI) : Utilisez la date de prélèvement des ovules, puis ajoutez 266 jours (ou 38 semaines).

Où va l'embryon si il ne s'accroche pas ? ›

Si le l'embryon ne s'accroche pas à l'endomètre, on parle alors d'échec d'implantation. La grossesse ne peut donc pas se poursuivre. Cet échec de nidation peut se produire lors d'une grossesse naturelle, mais le risque est plus important dans une grossesse par Fécondation in Vitro.

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1. FIV : Quels sont les signes d'une implantation réussie ?
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2. FIV : Que faut il savoir sur le stade J5 d'un embryon ? Par le Dr Pont biologiste
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3. FIV : Avez vous des conseils après un transfert à J5 ?
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4. Comment interpreter les taux de beta hcg ?
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5. FIV : Comment déterminer la fenêtre d'implantation ?
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6. #1 Les symptômes de la nidation, les signes des 2 premières semaines !
(MelaKat)
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Author: Margart Wisoky

Last Updated: 01/11/2023

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